vendredi 21 octobre 2011

A la une: Pour ceux qui aiment les romans: l'idéaliste de John grisham



"L'idéaliste" de John Grisham. 




L’idéaliste de John Grisham, un roman que j’ai lu avec beaucoup d’enthousiasme. Il m’a fait voir sous un beau soleil le métier d’avocat et l’univers des procès.
C'est un livre qui m'a beaucoup marqué. C'était mon premier roman sur le métier d'avocat et l'environnement des procès. Etant étudiant au moment où je le lisais, j'étais d'autant plus intéressé puisqu'il s'agissait de l'histoire d'un jeune diplômé qui entamait sa carrière. Cela a peu-être influencé mon appréciation du livre. Il faudrait donc que je le relise.




L'idéaliste raconte l'histoire de Rudy Baylor, étudiant en droit puis jeune avocat à Memphis. Avant d'avoir son diplôme, il donne des conseils juridiques dans un centre de jour pour personnes âgées. Deux de ces dossiers vont l'occuper pendant ses premiers mois comme jeune avocat : le testament de Colleen "Birdie" Birdsong qui désire déshériter sa famille et le procès de « Dot Black » contre « Great Benefit », une compagnie d’assurance qui avait refusé de prendre en charge le traitement contre la leucémie de son fils.

Je vous le recommande également.



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mardi 11 octobre 2011

Votre blog a sa page facebook "J'aime Lire et Partager"

Vous pouvez conseiller vos livres préférés sur ce blog!

Votre blog "des livres et des projets de vie" dispose d'une page Facebook "j'aime lire et partager".


Cette page vous permettra de faire des résumés des livres qui vous ont marqué et que vous conseillé. Toutes vos contributions seront affichés sur le blog dans l'onglet "j'aime lire et partager".

Vous pouvez le constater, il y a déjà une lectrice qui nous conseille de lire LE RANCH de Danielle Steel. Merci Nadège!


Voici le lien de la page facebook "J'aime Lire et Partager":
http://www.facebook.com/pages/Jaime-Lire-et-Partager/208535839213187

Bonne contribution!

vendredi 7 octobre 2011

Le message que Steve Jobs vous a laissé!

De façon exceptionnelle je vous propose ici le message que Steve Job vous a laissé sur les incidences imprévues, sur la mort, sur la vie, sur la passion et l'échec! C'est un discours qu'il a prononcé en 2005 lors d'une remise de diplômes. C'est un hommage à ce visionnaire qu'il était.



« C’est un honneur de me trouver parmi vous aujourd’hui et d’assister à une remise de diplômes dans une des universités les plus prestigieuses du monde. Je n’ai jamais terminé mes études supérieures. A dire vrai, je n’ai même jamais été témoin d’une remise de diplômes dans une université. Je veux vous faire partager aujourd’hui trois expériences qui ont marqué ma carrière. C’est tout. Rien d’extraordinaire. Juste trois expériences.




« Pourquoi j’ai eu raison de laisser tomber l’université »





La première concerne les incidences imprévues. J’ai abandonné mes études au Reed College au bout de six mois, mais j’y suis resté auditeur libre pendant dix-huit mois avant de laisser tomber définitivement. Pourquoi n’ai-je pas poursuivi ?




Tout a commencé avant ma naissance. Ma mère biologique était une jeune étudiante célibataire, et elle avait choisi de me confier à des parents adoptifs. Elle tenait à me voir entrer dans une famille de diplômés universitaires, et tout avait été prévu pour que je sois adopté dès ma naissance par un avocat et son épouse. Sauf que, lorsque je fis mon apparition, ils décidèrent au dernier moment qu’ils préféraient avoir une fille. Mes parents, qui étaient sur une liste d’attente, reçurent un coup de téléphone au milieu de la nuit : « Nous avons un petit garçon qui n’était pas prévu. Le voulez-vous ? » Ils répondirent : « Bien sûr. » Ma mère biologique découvrit alors que ma mère adoptive n’avait jamais eu le moindre diplôme universitaire, et que mon père n’avait jamais terminé ses études secondaires. Elle refusa de signer les documents définitifs d’adoption et ne s’y résolut que quelques mois plus tard, quand mes parents lui promirent que j’irais à l’université.




Dix-sept ans plus tard, j’entrais donc à l’université. Mais j’avais naïvement choisi un établissement presque aussi cher que Stanford, et toutes les économies de mes parents servirent à payer mes frais de scolarité. Au bout de six mois, je n’en voyais toujours pas la justification. Je n’avais aucune idée de ce que je voulais faire dans la vie et je n’imaginais pas comment l’université pouvait m’aider à trouver ma voie. J’étais là en train de dépenser tout cet argent que mes parents avaient épargné leur vie durant. Je décidai donc de laisser tomber. Une décision plutôt risquée, mais rétrospectivement c’est un des meilleurs choix que j’aie jamais faits. Dès le moment où je renonçais, j’abandonnais les matières obligatoires qui m’ennuyaient pour suivre les cours qui m’intéressaient.




Tout n’était pas rose. Je n’avais pas de chambre dans un foyer, je dormais à même le sol chez des amis. Je ramassais des bouteilles de Coca-Cola pour récupérer le dépôt de 5 cents et acheter de quoi manger, et tous les dimanches soir je faisais 10 kilomètres à pied pour traverser la ville et m’offrir un bon repas au temple de Hare Krishna. Un régal. Et ce que je découvris alors, guidé par ma curiosité et mon intuition, se révéla inestimable à l’avenir. Laissez-moi vous donner un exemple : le Reed College dispensait probablement alors le meilleur enseignement de la typographie de tout le pays. Dans le campus, chaque affiche, chaque étiquette sur chaque tiroir était parfaitement calligraphiée. Parce que je n’avais pas à suivre de cours obligatoires, je décidai de m’inscrire en classe de calligraphie. C’est ainsi que j’appris tout ce qui concernait l’empattement des caractères, les espaces entre les différents groupes de lettres, les détails qui font la beauté d’une typographie. C’était un art ancré dans le passé, une subtile esthétique qui échappait à la science. J’étais fasciné.




Rien de tout cela n’était censé avoir le moindre effet pratique dans ma vie. Pourtant, dix ans plus tard, alors que nous concevions le premier Macintosh, cet acquis me revint. Et nous l’incorporâmes dans le Mac. Ce fut le premier ordinateur doté d’une typographie élégante. Si je n’avais pas suivi ces cours à l’université, le Mac ne posséderait pas une telle variété de polices de caractères ni ces espacements proportionnels. Et comme Windows s’est borné à copier le Mac, il est probable qu’aucun ordinateur personnel n’en disposerait. Si je n’avais pas laissé tomber mes études à l’université, je n’aurais jamais appris la calligraphie, et les ordinateurs personnels n’auraient peut-être pas cette richesse de caractères. Naturellement, il était impossible de prévoir ces répercussions quand j’étais à l’université. Mais elles me sont apparues évidentes dix ans plus tard.




On ne peut prévoir l’incidence qu’auront certains événements dans le futur ; c’est après coup seulement qu’apparaissent les liens. Vous pouvez seulement espérer qu’ils joueront un rôle dans votre avenir. L’essentiel est de croire en quelque chose – votre destin, votre vie, votre karma, peu importe. Cette attitude a toujours marché pour moi, et elle a régi ma vie.




« Pourquoi mon départ forcé d’Apple fut salutaire »




Ma deuxième histoire concerne la passion et l’échec. J’ai eu la chance d’aimer très tôt ce que je faisais. J’avais 20 ans lorsque Woz [Steve Wozniak, le co-fondateur d’Apple N.D.L.R.] et moi avons créé Apple dans le garage de mes parents. Nous avons ensuite travaillé dur et, dix ans plus tard, Apple était une société de plus de 4 000 employés dont le chiffre d’affaires atteignait 2 milliards de dollars. Nous venions de lancer un an plus tôt notre plus belle création, le Macintosh, et je venais d’avoir 30 ans.




C’est alors que je fus viré. Comment peut-on vous virer d’une société que vous avez créée ? C’est bien simple, Apple ayant pris de l’importance, nous avons engagé quelqu’un qui me semblait avoir les compétences nécessaires pour diriger l’entreprise à mes côtés et, pendant la première année, tout se passa bien. Puis nos visions ont divergé, et nous nous sommes brouillés. Le conseil d’administration s’est rangé de son côté. C’est ainsi qu’à 30 ans je me suis retrouvé sur le pavé. Viré avec perte et fracas. La raison d’être de ma vie n’existait plus. J’étais en miettes.




Je restais plusieurs mois sans savoir quoi faire. J’avais l’impression d’avoir trahi la génération qui m’avait précédé – d’avoir laissé tomber le témoin au moment où on me le passait. C’était un échec public, et je songeais même à fuir la Silicon Valley. Puis j’ai peu à peu compris une chose – j’aimais toujours ce que je faisais. Ce qui m’était arrivé chez Apple n’y changeait rien. J’avais été éconduit, mais j’étais toujours amoureux. J’ai alors décidé de repartir de zéro.




Je ne m’en suis pas rendu compte tout de suite, mais mon départ forcé d’Apple fut salutaire. Le poids du succès fit place à la légèreté du débutant, à une vision moins assurée des choses. Une liberté grâce à laquelle je connus l’une des périodes les plus créatives de ma vie.




Pendant les cinq années qui suivirent, j’ai créé une société appelée NeXT et une autre appelée Pixar, et je suis tombé amoureux d’une femme exceptionnelle qui est devenue mon épouse. Pixar, qui allait bientôt produire le premier film d’animation en trois dimensions, Toy Story , est aujourd’hui la première entreprise mondiale utilisant cette technique. Par un remarquable concours de circonstances, Apple a acheté NeXT, je suis retourné chez Apple, et la technologie que nous avions développée chez NeXT est aujourd’hui la clé de la renaissance d’Apple. Et Laurene et moi avons fondé une famille merveilleuse.




Tout cela ne serait pas arrivé si je n’avais pas été viré d’Apple. La potion fut horriblement amère, mais je suppose que le patient en avait besoin. Parfois, la vie vous flanque un bon coup sur la tête. Ne vous laissez pas abattre. Je suis convaincu que c’est mon amour pour ce que je faisais qui m’a permis de continuer. Il faut savoir découvrir ce que l’on aime et qui l’on aime. Le travail occupe une grande partie de l’existence, et la seule manière d’être pleinement satisfait est d’apprécier ce que l’on fait. Sinon, continuez à chercher. Ne baissez pas les bras. C’est comme en amour, vous saurez quand vous aurez trouvé. Et toute relation réussie s’améliore avec le temps. Alors, continuez à chercher jusqu’à ce que vous trouviez.




« Pourquoi la mort est la meilleure chose de la vie »




Ma troisième histoire concerne la mort. A l’âge de 17 ans, j’ai lu une citation qui disait à peu près ceci : « Si vous vivez chaque jour comme s’il était le dernier, vous finirez un jour par avoir raison. » Elle m’est restée en mémoire et, depuis, pendant les trente-trois années écoulées, je me suis regardé dans la gla-ce le matin en me disant : « Si aujourd’hui était le dernier jour de ma vie, est-ce que j’aimerais faire ce que je vais faire tout à l’heure ? » Et si la réponse est non pendant plusieurs jours à la file, je sais que j’ai besoin de changement.




Avoir en tête que je peux mourir bientôt est ce que j’ai découvert de plus efficace pour m’aider à prendre des décisions importantes. Parce que presque tout – tout ce que l’on attend de l’extérieur, nos vanités et nos fiertés, nos peurs de l’échec – s’efface devant la mort, ne laissant que l’essentiel. Se souvenir que la mort viendra un jour est la meilleure façon d’éviter le piège qui consiste à croire que l’on a quelque chose à perdre. On est déjà nu. Il n’y a aucune raison de ne pas suivre son cœur.




Il y a un an environ, on découvrait que j’avais un cancer. A 7 heures du matin, le scanner montrait que j’étais atteint d’une tumeur au pancréas. Je ne savais même pas ce qu’était le pancréas. Les médecins m’annoncèrent que c’était un cancer probablement incurable, et que j’en avais au maximum pour six mois. Mon docteur me conseilla de rentrer chez moi et de mettre mes affaires en ordre, ce qui signifie : « Préparez-vous à mourir. » Ce qui signifie dire à ses enfants en quelques mois tout ce que vous pensiez leur dire pendant les dix prochaines années. Ce qui signifie essayer de faciliter les choses pour votre famille. En bref, faire vos adieux.




J’ai vécu avec ce diagnostic pendant toute la journée. Plus tard dans la soirée, on m’a fait une biopsie, introduit un endoscope dans le pancréas en passant par l’estomac et l’intestin. J’étais inconscient, mais ma femme, qui était présente, m’a raconté qu’en examinant le prélèvement au microscope, les médecins se sont mis à pleurer, car j’avais une forme très rare de cancer du pancréas, guérissable par la chirurgie. On m’a opéré et je vais bien.




Ce fut mon seul contact avec la mort, et j’espère qu’il le restera pendant encore quelques dizaines d’années. Après cette expérience, je peux vous le dire avec plus de certitude que lorsque la mort n’était pour moi qu’un concept purement intellectuel : personne ne désire mourir. Même ceux qui veulent aller au ciel n’ont pas envie de mourir pour y parvenir. Pourtant, la mort est un destin que nous partageons tous. Personne n’y a jamais échappé. Et c’est bien ainsi, car la mort est probablement ce que la vie a inventé de mieux. C’est le facteur de changement de la vie. Elle nous débarrasse de l’ancien pour faire place au neuf. En ce moment, vous représentez ce qui est neuf, mais un jour vous deviendrez progressivement l’ancien, et vous laisserez la place aux autres. Désolé d’être aussi dramatique, mais c’est la vérité.




Votre temps est limité, ne le gâchez pas en menant une existence qui n’est pas la vôtre. Ne soyez pas prisonnier des dogmes qui obligent à vivre en obéissant à la pensée d’autrui. Ne laissez pas le brouhaha extérieur étouffer votre voix intérieure. Ayez le courage de suivre votre cœur et votre intuition. L’un et l’autre savent ce que vous voulez réellement devenir. Le reste est secondaire.




Dans ma jeunesse, il existait une extraordinaire publication The Whole Earth Catalog , l’une des bibles de ma génération. Elle avait été fondée par un certain Stewart Brand, non loin d’ici, à Menlo Park, et il l’avait marquée de sa veine poétique. C’était à la fin des années 1960, avant les ordinateurs et l’édition électronique, et elle était réalisée entièrement avec des machines à écrire, des paires de ciseaux et des appareils Polaroid. C’était une sorte de Google en livre de poche, trente-cinq ans avant la création de Google. Un ouvrage idéaliste, débordant de recettes formidables et d’idées épatantes.





Stewart et son équipe ont publié plusieurs fascicules de The Whole Earth Catalog . Quand ils eurent épuisé la formule, ils sortirent un dernier numéro. C’était au milieu des années 1970, et j’avais votre âge. La quatrième de couverture montrait la photo d’une route de campagne prise au petit matin, le genre de route sur laquelle vous pourriez faire de l’auto-stop si vous avez l’esprit d’aventure. Dessous, on lisait : « Soyez insatiables. Soyez fous. » C’était leur message d’adieu. Soyez insatiables. Soyez fous. C’est le vœu que j’ai toujours formé pour moi. Et aujourd’hui, au moment où vous recevez votre diplôme qui marque le début d’une nouvelle vie, c’est ce que je vous souhaite.




Soyez insatiables. Soyez fous.




Merci à tous.»



Merci Steve!

vendredi 30 septembre 2011

Le livre qu'il faut aux jeunes gens qui débutent dans la vie active

Bonjour,

j'ai été un peu fatigué par la maladie cette semaine mais je vous présente un bon livre.

Vous venez de décrocher votre premier boulot!
Vous avez du mal à épargner!
Vous cherchez comment épargner!
Vous voulez remplir votre compte qui est vide!
Vous voulez une économie pour vos vieux jours!


Vous voulez conquérir vos ennemis (les dettes) et récompenser vos amis (ceux qui vous prêtent)!! [["Soulco", je vais payer ma dette envers toi maintenant lol!!!]]
Vous avez acquis une petite fortune et vous ne voulez plus la perdre!
Vous voulez éviter de couper votre arbre de richesse à sa racine!
Vous ne voulez pas être de ceux qui se tiennent à l'écart, regardant jalousement les autres jouir de leur fortune!
Vous voulez vous faire une petite fortune quelque soit votre activité!


Le livre "l'homme le plus riche de babylone" est fait  pour vous. 
Il vous évitera également de prendre les raccourcis vers la richesse. Il est destiné principalement au jeunes gens qui débutent dans la vie mais aussi à toute autre personne qui cherche à connaitre le succès financier de façon raisonnable sans emprunter évidemment les raccourcis.

Les secrets de la réussite des anciens, un chemin conduisant à la prospérité et au succès!

Achetez ce livre sur Amazon





Amicalement
syrko

lundi 19 septembre 2011

Parlons de l'Afrique: RENAISSANCES AFRICAINES, un livre que je vous conseille


J’ai décidé de vous faire part des livres intéressants que j’aurai lus et qui je pense pourront vous faire changer de vie dans le bons sens, des livres pour notre développement personnel. J’ai décidé de commencer la série de présentation par le dernier livre que j’ai lu car celui-ci parle de l’africain, de l’afrique, des sociétés traditionnelles africaines ou ivoiriennes, des villages. Parce que je suis africain et je suis ivoirien.


RENAISSANCES AFRICAINES DE MARCEL ZADI KESSY
Le continent noir décrypté par l’un des siens. Conversations avec JEAN-LUC MOUTON.
Editions des îlots de résistance. 

Mon appréciation du livre :

Ce livre présente l’Afrique et la Côte d’Ivoire en particulier vues par un de ses fils. Ce grand leader ivoirien apporte sa contribution au débat sur le devenir de nos pays africains en nous faisant partager son expérience et ses réflexions. C’est un livre destiné aux africains et aux occidentaux. [le président d’un  pays occidental a un représentant pour l’Afrique et les conflits dans le monde arabe. Ce président est invité à lire ce livre]
Les cadres, les leaders, les DG, les présidents de mutuelles de développement de villages et tous ceux qui s’intéressent à l’afrique, je pense que ce livre vous intéresse. Le président ZADI nous fait partager son expérience en matière de développement de son village, quelques unes de ses actions sociales à la tête des entreprises qu’il a dirigées et de bien d’autres choses.

Alors, je n’ai plus qu’à vous souhaiter bonne lecture !





Chronique du livre :

Depuis plus de trente ans, les experts se penchent sur le sort de l’Afrique, inquiets des ratés de son développement ; les solutions proposées restent infructueuses, comme si la compréhension de l’Afrique se trouvait déformée par un regard biaisé, que nous n’arrivons pas à changer…
Ce constat a poussé Marcel Zadi Kessy, un sage africain, à proposer un nouveau prisme d’analyse pour amorcer les bases de cette révolution essentielle qui seule permettra d’enclencher un cercle vertueux de développement ; en substance : réconcilier le continent avec son passé, et son futur.
Ce chantier est immense, bien entendu, mais son articulation fondamentale réside en quelques mots : l’Afrique doit changer son rapport au monde, et à l’Occident en particulier. Mais le devenir de l’Afrique étant indissociable de celui de l’Occident, ce dernier devra aussi changer sa relation avec l’Afrique ; qu’il soit question de facteurs démographiques, de ressources ou de risques de guerre, le cœur inquiet de la planète risque de battre de plus en plus dans le continent …
Ainsi ce livre est destiné aux Africains comme aux Occidentaux ; il cherche à ouvrir des espaces de compréhension dédramatisés et des sphères de collaboration féconde autour d’un seul projet : dessiner pour tous une espérance lumineuse.

lundi 12 septembre 2011

Soyons intègre partout et au travail surtout


Un roi vieillissant s'est réveillé un jour et s'est rendu compte qu'en mourant il n'aura pas de mâle (garçon) dans la famille royale pour le remplacer.

Il était le dernier garçon (mâle) dans la famille royale dans une culture où seulement un mâle pourrait succéder au trône - et il vieillissait. Il a décidé que s'il ne peut pas donner naissance à un mâle il adopterait un fils qui alors pourrait prendre sa place, mais il a insisté qu'un tel fils adopté soit extraordinaire au sens réel du mot. 

Il a donc lancé une compétition ouverte à tous les garçons de son royaume peu importe leur origine.




Dix garçons ont réussi à cette compétition jusqu'au sommet. Il y avait peu pour séparer ces garçons quant à l'intelligence, les attributs physiques etc.

Le roi leur dit, " j'ai une dernière épreuve et quiconque arrive à bout de cette dernière deviendra mon fils adoptif et héritier à mon trône ".

Alors il dit, " Ce royaume dépend uniquement de l'agriculture. Donc le roi doit savoir comment cultiver des plantes. Voici une graine de maïs pour chacun de vous. Emportez-la à la maison, plantez-la et élevez-la pour trois semaines. À la fin de trois semaines, nous verrons qui a fait le meilleur travail en cultivant la graine. Cette personne sera mon héritier - apparent".

Les garçons ont pris leurs graines et sont rentrés pressés à la maison. Ils ont eu chacun un pot à fleur et ont planté la graine dès leur rentrée à la maison.

Il y avait une énorme excitation dans le royaume puisque les gens attendaient avec souffle de savoir qui sera destiné pour être leur prochain roi.


Dans une maison, un des garçons et ses parents étaient presque navrés quand, après quelques jours de soin intense, la graine n'a pas poussé. Il ne savait pas
ce qui n'allait pas avec la sienne. Il avait sélectionné le sol avec soin, il avait appliqué la bonne quantité et type d'engrais, il avait été très obéissant dans l'arrosage avec les bons intervalles, il avait prié sur elle jour et nuit mais toujours sa graine s'était avérée improductive.




A suivre .......


Je vous livre la suite maintenant ....



Quelques-uns de ses amis lui ont recommandé d'aller acheter une graine au marché et la planter. Après tout, ont-ils dit, comment est-ce que quelqu'un peut différencier une graine de maïs d'une autre ?  Mais ses parents qui lui avaient toujours appris la valeur de l'intégrité, lui ont rappelé que si le roi voulait qu'ils plantent juste du maïs, il aurait demandé qu'ils aillent chercher leur propre graine.

Si tu prends n'importe quelle autre graine différente de celle que le roi t'a donnée, cela serait malhonnête. Peut-être nous ne sommes pas destinés pour le trône. S'il en est ainsi donc, laisse, et ne sois pas celui qui va tromper le roi; lui disent-ils !

Le jour "J" arrive et les garçons reviennent au palais chacun d'eux fièrement exhibant un plant du maïs très fin. C'était évident que les 9 autres garçons avaient eu grand succès avec leurs graines.
Le roi descend le long du rang où sont alignés les garçons passionnés et demande à chacun d'eux,
"C'est ce qui est sorti de la graine que je vous ai donnée ?" Et chaque garçon répondit, "Oui, votre majesté". Et le roi fait un signe de la tête et descend le
long de la ligne.


Le roi finalement arriva au dernier garçon au bout de la ligne. Le garçon était secoué par la peur. Il était sûr que le roi allait le jeter en prison pour avoir gaspillé sa graine.

"Qu'est-ce que tu as fait avec la graine que je t'ai donnée ?" le roi lui
demanda.
"Je l'ai plantée et me suis occupé d'elle diligemment votre majesté, mais hélas, elle n'a pas poussé", dit le garçon en larmes quand la foule l'a hué. 

Mais le roi a levé ses mains et a demandé le silence. Alors il a dit ceci :
"mon peuple, voici votre prochain roi". Tous les gens étaient confus. Pourquoi celui-là ? Beaucoup se sont demandés. Comment est-ce qu'il peut être le bon choix ?

Le roi, ayant pris sa place sur son trône avec le garçon à son côté, dit :

"j'ai donné à ces garçons des graines bouillies. Cette épreuve n'était pas pour cultiver le maïs. C'était l'épreuve de caractère ; une épreuve d'intégrité. C'était l'épreuve ultime.
Si un roi doit avoir une qualité, ce serait celle d'être au-dessus de la malhonnêteté.
Seul ce garçon a réussi l'épreuve. Une graine bouillie ne peut pas pousser".

 Leçon ?

 Je vous donnerai la leçon demain ....

Je vous livre la leçon maintenant ....


Nous vivons dans une société qui est obsédée par le succès et beaucoup cherchent le succès à n'importe quel prix. Ils disent que la fin justifie les moyens, c'est la tragédie de la vie.

Tu vois, l'échec est souvent une invitation à Dieu pour montrer qu'il est Tout Puissant et n'a pas besoin d'aide pour nous élever ou nous bénir.
Tu sais, quelquefois Dieu cherche des gens qui auront confiance complètement en Lui, peu importe qu'Il puisse leur montrer que le monde n'est ni par la puissance, ni par le pouvoir mais par Son esprit.

Dieu décrète l'échec quelquefois. Mais beaucoup cherchent à contourner l'échec
divinement décrété en recourant aux moyens douteux.
Quand un fonctionnaire construit une grande maison et envoie ses cinq enfants
dans les écoles chères pour lesquelles il n'a pas assez de revenus, par le recours à des moyens illicites pour y parvenir, est ce que cela n'est pas le cas
d'une germination de la graine bouillie ?

Quand un ministre entretien une maîtresse prodigue et en même temps élève des maisons avec des moyens supérieurs à son revenu en tant que ministre, est-ce que
ce n'est pas le cas d'une graine bouillie qui vient à la vie ?

Nous devrions cesser d'acclamer des malhonnêtes dans le MONDE !

Je crois qu’il nous a tous été donné la vie pour la mener d'après le plan de Dieu, et si nous vivons fidèlement, nous devrions avoir des résultats différents.

Par exemple, je crois que tous les mariages ne veulent pas dire avoir des enfants.

Je crois que quelques femmes seront debout devant Dieu avec leurs enfants et Dieu dira : «C'est étrange. Je ne vous ai pas donné d'enfants avec votre mari ; donc comment est-ce que vous avez eu ceux-ci ?"

Je crois que tous les étudiants qui entrent à l'université ne doivent pas réussir.
Donc, beaucoup se trouveront devant Dieu avec leurs certificats, diplômes et
Dieu dira : maintenant c'est étrange. Comment est-ce que vous êtes arrivés à
l'université alors que je vous ai fermé la porte de l'université ?".

Je crois que ce n'est pas tous les gens qui sont supposés se marier.

Mais il y a en ceux ou celles qui jetteront leurs scrupules seulement pour obtenir une épouse ou un époux.
Devant le trône du jugement de Dieu, ils entendront, Dieu s’étonner de ce
qu’ils ont.
"C'est étrange. Vous deviez rester célibataire pour honorer mon Nom. Comment donc est-ce que vous avez eu un époux (ou une épouse) quand je ne vous en ai pas
donné" ?

La course n'est pas pour le martinet et la bataille n'est pas pour le fort. Comment donc, dans ce MONDE, les martinets gagnent les courses et les forts
les batailles ?
C'est parce que nous refusons de rester fidèle à Dieu et refusons de permettre à Dieu d'être Dieu dans toutes les choses et dans nos affaires.

La graine bouillie ne pousse pas.
La prochaine fois que vous voyez une personne prospère, demandez vous quelle
genre de graine lui a été donnée et comment celle-ci a pu germer? 

Merci et à bientôt.